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Alors que l’aurore embrassait le jardin de ses premiers rayons, une découverte attendait. Le pot de fleur, devenu un hôtel pour perce-oreilles, abritait une population florissante, prête à être déplacée vers les rosiers. Là, leur appétit pour les pucerons serait non seulement toléré mais encouragé. Cette migration matinale devenait un rituel, une danse délicate entre l’homme et la nature. Mais, alors que ce cycle semblait harmonieux, une question restait en suspens : cette cohabitation pacifique pourrait-elle durer éternellement ?
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