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La réponse résidait peut-être dans la sagesse de la nature elle-même, qui, à travers des cycles immuables et une interdépendance profonde, enseignait l’art délicat de la coexistence. Le jardin, loin d’être un champ de bataille, se révélait être un théâtre où chaque acteur, du plus petit perce-oreille au jardinier lui-même, contribuait à une œuvre collective. Cette harmonie, patiemment cultivée, était le véritable secret pour un jardin florissant, un lieu où la vie, dans toute sa diversité, pouvait prospérer en paix.
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