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Vous avez peut-être le Wifi chez vous, peut-être même savez-vous que cette technologie présente un danger potentiel pour votre santé. Mais pour l’instant, vous n’avez pas débranché ce service (bien pratique) faute de temps et parce que vous n’êtes pas convaincu. Voilà la raison pour laquelle j’aborde ce sujet cette semaine, car il y a urgence à vous débarrasser du Wifi et je ne suis pas sûr que vous l’ayez compris.
Savez-vous que l’Agence Européenne de l’Environnement, le Parlement Européen et de nombreux médecins dans le monde ont décrit le Wi-fi comme une technologie toxique ? Savez-vous que, de son côté, le Conseil de l’Europe préconise l’abandon du Wi-fi dans les écoles et recommande depuis 2011 la baisse des seuils d’exposition des antennes-relais de téléphonie mobile ?
En effet, les ondes Wi-fi de l’ordinateur (mais également du portable, du sans-fil DECT et du Bluetooth) travaillent sur des bandes de fréquences totalement différentes des ondes radio et télévision hertziennes, car ce sont des micro-ondes pulsées sur des très basses fréquences.
Le Wi-fi émet sur une porteuse micro-onde de 2,45 Giga Hertz (exactement la fréquence d’agitation des molécules d’eau utilisée dans les fours micro-ondes dont il est issu) une grande densité de fréquences très basses, qui sont “pulsées par saccades”, transmettent ainsi les informations textes, sons et images. Mais cette technologie est totalement incompatible avec la santé, même à 0,1Volt/mètre. En bref, vous vivez ainsi dans une maison transformée en un grand four à micro-ondes !!!
En fait, c’est la nature du signal qui est toxique et non l’intensité du Wi-fi, qui même à très faible puissance, désorganise les processus physiologiques et détruit des structures biochimiques, entraînant la perte d’étanchéité de la barrière hémato-encéphalique, une baisse de production de la mélatonine et d’acétylcholine (maîtres du sommeil, de la mémoire, de la concentration…) et des dommages génétiques irréversibles.
Il a également été prouvé que l’effet biologique de ces émissions composites se traduit par une production de protéines de stress avec résonance sur les ondes Delta du cerveau. Plusieurs études en double aveugle ont décrit le syndrome l’électro-hypersensibilité (EHS) comme un trouble neurologique sans aucun lien avec le psychisme. Plusieurs études portent même sur les animaux (cigognes, bovins, grenouilles…) et la flore. Les symptômes communs sont l’insomnie, les maux de tête, la perte de concentration et de mémoire, les troubles cardiaques et de l’humeur.
L’EHS s’étant avéré occasionner un mal être physique sur une moyenne de 6% des individus, le Conseil de l’Europe, le Parlement Européen, l’OMS et plusieurs Etats aux U.S.A ont classé l’EHS comme un trouble physiologique et non psychologique.
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